J'ai lu mais le bonheur n'était pas au rendez-vous
Adèle en assez. Pourquoi devrait-elle se donner du mal pour se
maquiller et s'habiller, comme les filles de sa classe ? Est-ce le plus
sûr moyen de ne pas se faire remarquer ?. D'être normale ? Et
Frédéric... Il est gentil, il est même tragiquement gentil. N'est-ce
pas le pire des défauts pour un garçon ? Adèle et Frédéric doivent
trouver d'urgence une stratégie de survie. Ils ont alors une idée
lumineuse...
Un bon début mais une fin qui s’essouffle. Un roman qui permettra sans doute aux adolescents de s'identifier.
Des démons vivent dans un monde parallèle au nôtre. Avides des sons, des sensations et de tout ce qu'il y a de beau sur cette Terre. A moins qu'un cercle de magiciens crée un pont pour eux, ils ne peuvent pénétrer dans notre univers. Pourtant, certains d'entre eux savent quelque chose que nous ignorons. Et ils nous poursuivent, mon frère et moi, sans relâche. Alors restez à l'abri. Restez loin des magiciens. Restez loin de nous.
Une histoire un peu brouillon, pas très clair et pas du tout passionnante !
Dans le café où elle a ses habitudes, Tsukiko, âgée de trente-sept ans,
fait la connaissance d'un homme solitaire et élégant, de plus de trente
ans son aîné. Elle réalise qu'elle le connaît : il fut autrefois son
professeur de japonais. Elle est célibataire, il vit seul. Complices,
ils prennent l'habitude de se retrouver, au hasard de leur emploi du
temps, puis, bientôt, d'improviser des sorties ensemble.
Insensiblement, à petites touches légères, une connivence s'établit,
puis une véritable affection. En adaptant le roman de Hiromi Kawakami,
Les Années douces, Jirô Taniguchi s'essaie avec brio au thème de la
rencontre amoureuse. Un récit intimiste et délicat, tissé de bonheurs
fugaces et d'enchantements saisis au vol.
Je n’ai pas apprécié ce dernier taniguchi. Je n’ai pas accroché. Rien ne se passe.
Liana : Je ne suis pas la fille que tout le monde s'imagine. Je le jure et j'en ai la preuve. Preuve que je pourrais fournir, si seulement j'arrivais à sortir de la salle de bain de cet hôpital pour retourner à la réalité qui m'attend dehors, derrière la porte. Hank : Rencontrer une fille qui me parle, qui me sourit, qui m'aime bien et qui a envie de m'embrasser, ça semble impossible, comme si Johnny, Joey et Dee Dee Ramone sortaient de leur tombe et faisaient une nouvelle tournée. C'est impossible mais ce serait vraiment cool si cela arrivait.
Pour commencer, il faut aimer la musique pour apprécier ce roman parce qu'une référence musicale à toute les pages c'est trop pour moi. Sinon l'histoire part sur une idée intéressante, j'aime bien la rencontre dans les toilettes mais voilà il manque un truc ou bien il y a un truc qu'il faut enlever (musique)? pour apprécier vraiment ce roman.
Le plus bel âge, J.Smith Rakoff
Ils sont six amis d'université - quatre filles et deux garçons - et ont
choisi New York, la ville de tous les possibles, pour mener leur vie
d'adulte. Mais au rythme des mariages, naissances, échecs
professionnels et personnels, leurs rêves et ambitions ne tardent pas à
se heurter à l'épreuve de la réalité. En mettant en scène leurs vies
entremêlées, les amitiés et les amours qui se nouent et se dénouent,
Joanna Smith Rakoff fait la chronique d'une génération perdue, qui,
entre espoirs et désillusions, essaie de trouver sa place dans le
monde. Avec en toile de fond les bouleversements économiques et
politiques de notre époque - du boom Internet au réveil brutal au
lendemain du 11 Septembre -, ce roman d'apprentissage victorien dans
l'âme, généreux et parfaitement maîtrisé, révèle une nouvelle voix de
la littérature américaine contemporaine.
Un roman bien, c'est le terme. Dur réalité pour ces pauvres personnages mais je n'ai éprouvé aucune pitié pour eux.
Ne tirez pas sur l’oiseau moqueur, Harper Lee
Dans la veine de Steinbeck, un roman très beau sur le racisme. Une belle écriture remplie de tous les langages.
Je ne dirais pas que j’ai aimé ce roman mais plutôt que je suis contente d’avoir lu ce classique.