Fablehaven, Brandon Mull
Depuis des siècles, les créatures fantastiques les plus extraordinaires se cachent dans un refuge secret, à l'abri du monde moderne. Ce sanctuaire s'appelle Fablehaven. Kendra et Seth ignorent tout de ce lieu magique, dont leur grand-père est pourtant le gardien. Un jour, ils découvrent l'incroyable vérité : la forêt qui les entoure est peuplée d'êtres fabuleux - fées, géants, sorcières, monstres, ogres, satyres, naïades... Aujourd'hui, l'avenir de Fablehaven est menacé par l'avènement de puissances maléfiques. Ainsi commence le combat des deux enfants contre le mal, pour protéger Fablehaven de la destruction, sauver leur famille... et rester en vie.
Pimprenelle en a fait un livre voyageur qui a fait un petit arrêt par chez moi pour me permettre de le lire. J’avais très souvent ce livre devant les yeux mais la couverture ne faisait que me repousser. Et puis quand j’ai vu l’avis de Pimpi, ça m’a (enfin) donné envie de lire !
Je me suis plongée dans ce roman mystérieux où fées, sorcières, satyres ou encore naïades peuplent les pages et nous font rentrer dans un monde féérique d’où on ne voudrait plus en ressortir. Enfin, presque. Beaucoup restent jusqu’au deuxième tome mais moi arrivée à la moitié du livre quand le grand-père se fait enlever, j’ai décroché. Exit le monde du rêve et de la magie, Bonjour la réalité et les pieds sur terre. Je pense que je n’ai pas assez bu de lait mais chut… Je vous aurez prévenu : si vous voulez vous plonger dans le monde des créatures ensorcelantes que seuls les initiés peuvenat voir, vous n’en ressortirez plus. Et si vous êtes étranger, vous serez changé en pierre…
Je fais partie de l’unanimité des lecteurs qui ont préféré Kendra. Difficile d’apprécier Seth, le gaffeur, qui ne fait que désobéir et provoquer des catastrophes. On a envie de le claquer mais heureusement les fées le font à notre place !
La sorcière qui est du côté des méchants est appréciée et le véritable méchant, Bahumat, est plutôt inexistant. Des forces du mal invisible au final. Même les naïades annoncées comme un danger ne font pas de mal.
Fablehaven fait d’ailleurs penser aux chroniques de Spiderwick.
Merci Pimprenelle.