Les chiens enterrés ne mordent pas, Staalesen
La société d’encaissement Grorud semble apparaître et disparaître à intervalles réguliers, et n’appartient pas au Norvégien qui lui a donné son nom. Varg Veum, intrigué par ces dysfonctionnements, se renseigne et met le doigt sur une affaire de chantage autour d’une vieille photo sur laquelle figurent un entrepreneur en vogue de l’époque, un magnat de l’industrie d’armement suédoise, un financier et un encaisseur suédois. Une liste de personnes qui vont disparaître les uns après les autres.
Aucun lien entre le titre et l’histoire ou du moins je ne vois pas lequel. Un bon polar norvégien. Pour ma part, je préfère les polars anglo-saxons : plus de meurtres, plus d’action et plus d’enquêtes. Les nordiques aiment bien les polars plus politiques ! Il n'y a pas de suspens. On peut très bien arrêter la lecture sans souffrir de connaître la fin!
Gaïa, septembre 2009, 384p, 22 euros