BW, Lydie Salvayre :
Je n'ai absolument pas aimé son nouveau roman (d'ailleurs je n'aime pas les autres!). Cette histoire est sans queue ni tête. Je n’ai rien saisis à l’histoire. J’ai l’habitude avec cette auteure de fermer ses livres et de les oublier, et celui-ci ne fera pas exception !
Elle a une écriture froide, détachée, aucun sentiment. Enormément de répétition pour le mot BW. Je ne suis pas arrivée plus loin que les 50 premières pages.
Impossible à résumer donc voici la 4ème de couverture:
C’est l’histoire d’un homme qui, à plusieurs reprises dans sa vie, choisit de
partir, et de tourner le dos à ce qui ne répond pas à sa soif de liberté. Il
s’appelle BW. Adolescent, il part en solex sur les routes de France. On appelle
ça une fugue. Sa passion, c’est la course sur 800 mètres. Il gagne un
championnat national, mais la discipline d’une Fédération l’étouffe, il s’en va.
C’est l’Orient, à rebours des clichés : pas de drogue, non, la marche en avant,
jusqu’en Afghanistan, puis au Népal, avec une ascension de l’Himalaya. Plus
tard, la passion des livres devient un métier. BW est représentant d’une grande
maison d’édition. Il part bientôt pour le Liban, où il découvre le concret de la
guerre.
Les initiales BW correspondent à Bernard Wallet, fondateur des éditions verticales.
Seuil, août 2009,206p, 17 euros