Geisha, Golden
Ce livre est un chef d’œuvre. Je l’ai adoré ! Après l’avoir lu, je n’avais qu’une envie : regarder l’adaptation cinématographique et manger des sushis !
Ce roman est un livre parfait pour apprendre la culture japonaise : qui était vraiment les geishas, que faisaient-elles que devaient-elles endurer et surtout leur déclin. Une Geisha est le symbole du Japon.
Quelques temps avant la seconde Guerre Mondiale, Chiyo-chan vit entouré de son père pêcheur, de sa sœur et de sa mère gravement malade. Parce que la famille est pauvre, le père va les vendre à M. Tanaka. Chiyo-chan croit d’abord que celui-ci va l’adopter comme sa fille. Mais elle va vite se rendre compte de la vérité. Elle sera envoyée dans une école de geishas grâce à sa beauté. Quant à se sœur, elle aura moins de chance et sera prostituée. Chiyo-chan prend alors le nom de Sayuri. Elle devra apprendre à être une parfaite geisha : savoir préparer le thé, chanter, danser, savoir mener une conversation et surtout se laisser courtiser. Elle deviendra un des geishas les plus courtisées. Elle devra alors déjouer les mauvais tours que lui tend sa rivale, jalouse de sa beauté. Le roman retrace toute sa vie : de son enfance à sa vie d’adulte.
Ce roman écrit sous la forme de mémoires est un véritable document sur la vie des geishas autrefois. Avant de le lire, je n’avais qu’une vague idée de ce qu’était une geisha.
Un merveilleux livre. Si vous ne l’aviez pas encore lu, c’est un des romans qu’il faut avoir dans sa PAL.